Eugène Delacroix, Alfred de Vigny et la critique d’art (en commémoration conjointe du 150e anniversaire de leur décès) Exactement contemporains, Eugène Delacroix et Alfred de Vigny, son aîné d’un an, ont tous deux disparu en 1863, à un mois d’intervalle.

Alfred de Vigny, Eugène Delacroix et la critiques d’art,
par Sidonie Lemeux-Fraitot, historienne de l’art, secrétaire générale de l’Association des Amis d’Alfred de Vigny
(en commémoration conjointe du 150e anniversaire de leur décès)

Le jeudi 19 septembre 2013, 18h30

Eugène Delacroix, Alfred de Vigny et la critique d’art (en commémoration conjointe du 150e anniversaire de leur décès)
Exactement contemporains, Eugène Delacroix et Alfred de Vigny, son aîné d’un an, ont tous deux disparu en 1863, à un mois d’intervalle. Leur rencontre dans les cénacles romantiques de leur jeunesse, si elle ne semble pas avoir été suivie d’une véritable amitié, est à l’origine d’aspirations parallèles mais surtout d’une communauté d’idées en matière de critique d’art. Evoquer leurs écrits dans ce genre, leur vision de l’art et des artistes, leurs prédilections et leurs aversions, permet de faire revivre une passion partagée pour le Beau et l’Idéal. Les mots de Delacroix - ceux de son Journal, de ses articles - confrontés aux poèmes, aux romans et aux Mémoires de Vigny mènent ainsi au cœur de la création et de la vie culturelle du premier XIXe siècle.